
Manon Mercier ((secteur du Centre – St Médard – Fontaines) entourée de la 1ère demoiselle, Justine Garnier (quartier Paradis – La Sablière – St Michel le Cloucq) etla 2ème demoiselle, Océane Gobin (quartier Puit St Martin – Auzay – Longèves.)
Manon Mercier, qui êtes-vous?
Je m’appelle Mercier Manon, j’ai 19ans. Je suis étudiante infirmière de deuxième année à la Roche sur Yon car j’ai pour but de devenir infirmière puéricultrice. Je vis sur La Roche-sur-Yon pour les études mais je suis originaire de Fontenay-le-Comte. Je suis passionnée par la danse que je pratique depuis que j’ai quatre ans. J’aime également sortir avec mes amies et passer des moments en famille.
Samedi 19 mars, vous avez été élue comtesse de Fontenay-le-Comte, que représente ce titre pour vous ?
Ce titre représente pour moi un rêve de petite fille qui se réalise, en effet la Biennale c’est vraiment une histoire de famille. Il y a quelques années mes arrières-grands-parents y étaient bénévoles. Ma mère est montée sur les chars en 2000 et ma tante est montée sur celui de la Ville en 2008. J’ai moi-même confectionné des roses lorsque j’étais petite et j’ai dansé dans le défilé. Monter un jour sur les chars était donc une suite logique et quelque chose que j’attendais depuis des années. Devenir l’ambassadrice de ma ville de naissance lors de cette biennale est une grande fierté pour moi.
Selon vous quelles doivent être les valeurs d’une Comtesse de Fontenay-le-Comte ?
D’après moi, les valeurs d’une Comtesse, sont la simplicité, le naturel, la bienveillance et l’envie de faire que cette journée se passe au mieux, l’envie de donner le sourire et faire pétiller les yeux du public mais aussi de vouloir rendre fière la Ville de Fontenay et ses Fontenaisiens.
Vous allez être durant trois jours, la reine de la Biennale, est-ce une fierté, un honneur ?
C’est une grande fierté pour moi et un honneur de pouvoir représenter cette ville ainsi que toutes les personnes présentes ce jour. Je suis aussi très fière de pouvoir représenter mon quartier du Centre St Médard Fontaines et la ville de Fontenay.
À quelques jours de cet événement comment vous sentez-vous ?
Je peux avouer que je suis un peu stressée. Il y a beaucoup de choses à préparer, les chars à terminer. Je réalise aussi que des milliers de personnes auront les yeux rivés sur nous et c’est un peu perturbant. Mais je suis également très pressée et j’ai hâte de faire la fête avec tous les Fontenaisiens.
Vous serez postée, ainsi que vos dauphines, sur le char fleuri de la Ville, avez-vous des règles précises à respecter, qu’attend le public de votre prestation ?
Il ne me semble pas qu’il y ait de règles précises à respecter mais il est important d’être souriante, respectueuse du public et montrer que nous sommes heureuses et fière d’être là. Je ne pense pas que le public ait réellement d’attente, les gens attendent la biennale avec impatience, d’autant plus cette année car elle n’a pas eu lieu depuis 4ans. Je pense qu’ils attendent des demoiselles souriantes ainsi qu’un spectacle époustouflant comme à chaque biennale.
Vous avez succédé à Chloé Coirier qui a régné pendant 4 ans pour cause de CoVid, vous a-t-elle laissé des instructions, transmis des conseils ?
Je n’ai pas pu beaucoup échanger avec Chloé, je l’ai seulement vu lors de l’élection quand elle m’a remis la couronne, tout s’est vite enchaîné entre les photos, allez voir ma famille tout cela. Il est donc vrai que nous ne nous sommes pas beaucoup parlé, mais je pense que si j’ai des questions elle sera là pour me répondre.
Vous êtes élue pour deux ans, en dehors de la Biennale, quel est votre rôle ?
Lors de ces deux ans, nous serons invitées à chaque événement de la Ville de Fontenay, pour les inaugurations ou encore les commémorations. Nous pouvons aussi participer à des événements extérieurs si nous sommes invitées. Et bien sûr, nous serons présentes à la biennale 2024 ainsi qu’aux bals qui éliront les prochaines jeunes filles qui monteront sur les chars.
Que souhaiteriez-vous dire aux jeunes filles qui hésitent encore un peu à se présenter ?
Je leur dirais de ne pas hésiter, tout le monde a ses chances et que dans tous les cas, que l’on soit vicomtesse de quartier, comtesse de la ville ou demoiselle, tout le monde monte sur un char et surtout c’est un week-end génial et inoubliable, c’est qu’une fois dans une vie. Alors les filles foncez !!!
Je m’appelle Mercier Manon, j’ai 19ans. Je suis étudiante infirmière de deuxième année à la Roche sur Yon car j’ai pour but de devenir infirmière puéricultrice. Je vis sur La Roche-sur-Yon pour les études mais je suis originaire de Fontenay-le-Comte. Je suis passionnée par la danse que je pratique depuis que j’ai quatre ans. J’aime également sortir avec mes amies et passer des moments en famille.
Samedi 19 mars, vous avez été élue comtesse de Fontenay-le-Comte, que représente ce titre pour vous ?
Ce titre représente pour moi un rêve de petite fille qui se réalise, en effet la Biennale c’est vraiment une histoire de famille. Il y a quelques années mes arrières-grands-parents y étaient bénévoles. Ma mère est montée sur les chars en 2000 et ma tante est montée sur celui de la Ville en 2008. J’ai moi-même confectionné des roses lorsque j’étais petite et j’ai dansé dans le défilé. Monter un jour sur les chars était donc une suite logique et quelque chose que j’attendais depuis des années. Devenir l’ambassadrice de ma ville de naissance lors de cette biennale est une grande fierté pour moi.
Selon vous quelles doivent être les valeurs d’une Comtesse de Fontenay-le-Comte ?
D’après moi, les valeurs d’une Comtesse, sont la simplicité, le naturel, la bienveillance et l’envie de faire que cette journée se passe au mieux, l’envie de donner le sourire et faire pétiller les yeux du public mais aussi de vouloir rendre fière la Ville de Fontenay et ses Fontenaisiens.
Vous allez être durant trois jours, la reine de la Biennale, est-ce une fierté, un honneur ?
C’est une grande fierté pour moi et un honneur de pouvoir représenter cette ville ainsi que toutes les personnes présentes ce jour. Je suis aussi très fière de pouvoir représenter mon quartier du Centre St Médard Fontaines et la ville de Fontenay.
À quelques jours de cet événement comment vous sentez-vous ?
Je peux avouer que je suis un peu stressée. Il y a beaucoup de choses à préparer, les chars à terminer. Je réalise aussi que des milliers de personnes auront les yeux rivés sur nous et c’est un peu perturbant. Mais je suis également très pressée et j’ai hâte de faire la fête avec tous les Fontenaisiens.
Vous serez postée, ainsi que vos dauphines, sur le char fleuri de la Ville, avez-vous des règles précises à respecter, qu’attend le public de votre prestation ?
Il ne me semble pas qu’il y ait de règles précises à respecter mais il est important d’être souriante, respectueuse du public et montrer que nous sommes heureuses et fière d’être là. Je ne pense pas que le public ait réellement d’attente, les gens attendent la biennale avec impatience, d’autant plus cette année car elle n’a pas eu lieu depuis 4ans. Je pense qu’ils attendent des demoiselles souriantes ainsi qu’un spectacle époustouflant comme à chaque biennale.
Vous avez succédé à Chloé Coirier qui a régné pendant 4 ans pour cause de CoVid, vous a-t-elle laissé des instructions, transmis des conseils ?
Je n’ai pas pu beaucoup échanger avec Chloé, je l’ai seulement vu lors de l’élection quand elle m’a remis la couronne, tout s’est vite enchaîné entre les photos, allez voir ma famille tout cela. Il est donc vrai que nous ne nous sommes pas beaucoup parlé, mais je pense que si j’ai des questions elle sera là pour me répondre.
Vous êtes élue pour deux ans, en dehors de la Biennale, quel est votre rôle ?
Lors de ces deux ans, nous serons invitées à chaque événement de la Ville de Fontenay, pour les inaugurations ou encore les commémorations. Nous pouvons aussi participer à des événements extérieurs si nous sommes invitées. Et bien sûr, nous serons présentes à la biennale 2024 ainsi qu’aux bals qui éliront les prochaines jeunes filles qui monteront sur les chars.
Que souhaiteriez-vous dire aux jeunes filles qui hésitent encore un peu à se présenter ?
Je leur dirais de ne pas hésiter, tout le monde a ses chances et que dans tous les cas, que l’on soit vicomtesse de quartier, comtesse de la ville ou demoiselle, tout le monde monte sur un char et surtout c’est un week-end génial et inoubliable, c’est qu’une fois dans une vie. Alors les filles foncez !!!