L’épici’Air, est un magasin pédagogique qui permet aux élèves de terminale qui suivent la formation “Techniques et Conseils de Vente d’Alimentation” au lycée Bel-Air de Fontenay-le-Comte, de mettre en pratique le fruit de leur apprentissage.
La boutique, ouverte au public, est située dans l’enceinte de l’établissement, et les élèves disposent également d’un stand au cœur du marché des Halles certains mercredis matin. Nelly Verron est assistante pédagogique, elle encadre le projet.
Horaires d'ouverture
Lundi Fermé,
Mardi 9h/13h-14h/17h,
Mercredi 9h/13h15,
Jeudi 9h/13h-14h/17h,
Vendredi 9h/17h30
La boutique, ouverte au public, est située dans l’enceinte de l’établissement, et les élèves disposent également d’un stand au cœur du marché des Halles certains mercredis matin. Nelly Verron est assistante pédagogique, elle encadre le projet.
Horaires d'ouverture
Lundi Fermé,
Mardi 9h/13h-14h/17h,
Mercredi 9h/13h15,
Jeudi 9h/13h-14h/17h,
Vendredi 9h/17h30

La boutique, située dans la cour du Lycée Bel-air est ouverte au public
La Gazette Fontenaisienne : Parlez-nous du magasin Epici’Air
Nelly Verron : Le magasin est un outil de travail pour la filière « Vente alimentaire » du lycée. Les élèves sont mis en situation réelle, et peuvent s’exercer à mettre en application ce qu’ils ont appris de manière théorique en cours. Ils participent à toutes les phases de la vente : rencontre avec les producteurs, achats, mise en rayons, conseil, vente, référencement, stockage… Il y a un magasin dans la cour du lycée et les gens peuvent venir directement faire leurs achats. Nous venons au marché pour nous faire connaître et pour que les élèves aient une autre approche du client, c’est une autre sorte de vente.
LGF : Quels produits trouve-t-on au magasin Epici’Air ?
N.V. : Nous avons un slogan : “De la fourche à la fourchette”. Nous favorisons les produits locaux, beaucoup de produits bio. Les élèves m’accompagnent chez les producteurs et ce sont eux qui choisissent les produits qu’ils veulent vendre dans le magasin, ils négocient, ils gèrent les bons de commande, les factures...
LGF : Combien d’élèves participent à cette opération ?
N.V. : Il y a 63 élèves au sein de la filière vente et 17 élèves viennent au marché, ce sont des terminales qui préparent un bac pro Vente Alimentaire.
Patricia est étudiante en bac pro, ce mercredi matin elle s’est levée très tôt pour venir préparer le stand du marché avec ses camarades. Elle apprécie le contact direct avec les clients : « Cela nous permet d’apprendre notre futur métier, cela nous aide à maîtriser les étapes de la vente, et cette mise en situation est très motivante, concrète, cela me donne envie de continuer ».
Pour suivre l’actualité de l’épicerie pédagogique sur Facebook : “l’épici’air”
Nathalie Montelle, pour la Rédaction
Nelly Verron : Le magasin est un outil de travail pour la filière « Vente alimentaire » du lycée. Les élèves sont mis en situation réelle, et peuvent s’exercer à mettre en application ce qu’ils ont appris de manière théorique en cours. Ils participent à toutes les phases de la vente : rencontre avec les producteurs, achats, mise en rayons, conseil, vente, référencement, stockage… Il y a un magasin dans la cour du lycée et les gens peuvent venir directement faire leurs achats. Nous venons au marché pour nous faire connaître et pour que les élèves aient une autre approche du client, c’est une autre sorte de vente.
LGF : Quels produits trouve-t-on au magasin Epici’Air ?
N.V. : Nous avons un slogan : “De la fourche à la fourchette”. Nous favorisons les produits locaux, beaucoup de produits bio. Les élèves m’accompagnent chez les producteurs et ce sont eux qui choisissent les produits qu’ils veulent vendre dans le magasin, ils négocient, ils gèrent les bons de commande, les factures...
LGF : Combien d’élèves participent à cette opération ?
N.V. : Il y a 63 élèves au sein de la filière vente et 17 élèves viennent au marché, ce sont des terminales qui préparent un bac pro Vente Alimentaire.
Patricia est étudiante en bac pro, ce mercredi matin elle s’est levée très tôt pour venir préparer le stand du marché avec ses camarades. Elle apprécie le contact direct avec les clients : « Cela nous permet d’apprendre notre futur métier, cela nous aide à maîtriser les étapes de la vente, et cette mise en situation est très motivante, concrète, cela me donne envie de continuer ».
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Nathalie Montelle, pour la Rédaction